Hervé MORIN, Président du Nouveau Centre, exprime son inquiétude face aux violences qui progressent quotidiennement en Tunisie. La protestation qui monte est un mouvement de fond qui touche chaque jour de nouvelles villes dans le pays.
Face à une jeunesse, des classes moyennes, une bourgeoisie, des intellectuels en proie à de grandes inquiétudes concernant leur avenir, la réponse du gouvernement tunisien par la violence, interpelle tous les démocrates, défenseurs des droits de l’homme et des libertés.
La Tunisie, l’un de nos partenaires au sein de l’Union pour la Méditerranée, est un pays qui a avec la France une histoire, un passé, mais surtout un avenir commun. J’appelle de mes vœux le gouvernement tunisien à être à l’écoute du désarroi exprimé et à engager un dialogue avec le peuple qui réclame aujourd’hui plus de liberté d’expression et de démocratie. Un pays souverain puise sa force dans sa jeunesse pour dessiner ses perspectives et construire son avenir.
Face à une jeunesse, des classes moyennes, une bourgeoisie, des intellectuels en proie à de grandes inquiétudes concernant leur avenir, la réponse du gouvernement tunisien par la violence, interpelle tous les démocrates, défenseurs des droits de l’homme et des libertés.
La Tunisie, l’un de nos partenaires au sein de l’Union pour la Méditerranée, est un pays qui a avec la France une histoire, un passé, mais surtout un avenir commun. J’appelle de mes vœux le gouvernement tunisien à être à l’écoute du désarroi exprimé et à engager un dialogue avec le peuple qui réclame aujourd’hui plus de liberté d’expression et de démocratie. Un pays souverain puise sa force dans sa jeunesse pour dessiner ses perspectives et construire son avenir.
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