A Paris, vendredi 22 octobre 2010
Les Jeunes centristes dénoncent l'exploitation d'une frange de la jeunesse par l'opposition de gauche selon des considérations purement politiciennes. C'est en attisant les inquiétudes de la jeunesse que les partis politiques de gauche et les syndicats instrumentalisent les collégiens, les lycées et les étudiants.
Un jour, certains responsables socialistes évoquent la mise en place de solutions militaires pour réinsérer les jeunes en situation difficile. Le lendemain, les mêmes suggèrent à la jeunesse de descendre dans la rue et ainsi de délaisser l'enseignement et l'instruction dont a besoin toute jeunesse éclairée et porteuse d'avenir.
L'absence manifeste de volonté de l'opposition d'aboutir à un consensus national autour de la question des retraites et son manque d'esprit de responsabilité trouvent par conséquent un écho tout particulier dans la dérive et les violences qui apparaissent depuis quelques jours en marge des cortèges.
Violences : appel à la plus grande fermeté de l'État
Face aux débordements violents et aux comportements intolérables d'une très faible minorité de la jeunesse, et plus largement face aux blocages que connaît notre pays, les Jeunes centristes demandent la plus grande fermeté des pouvoirs publics : la loi républicaine doit être respectée par tous, droits et devoirs compris.
« Il est anormal que dans plusieurs villes de France, les « casseurs » puissent ainsi perturber un mouvement social pacifique qui révèle quant à lui une crise de confiance entre le politique et la jeunesse. Afin de retrouver un climat plus serein, j’appelle le gouvernement à faire plus de pédagogie sur cette réforme nécessaire et à sanctionner fermement toute une partie de la jeunesse qui ne respecte plus la République.» Jeremy Coste, président des Jeunes centristes
Être citoyen, c'est être instruit et responsable
Contrairement à ce que l'opposition veut leur faire croire, ce n'est pas en étant dans la rue que les jeunes s'assureront un avenir meilleur. Bien entendu, les Jeunes centristes soutiennent les initiatives citoyennes à commencer par celle qui consiste à exprimer librement ses opinions. Mais comme le rappelait Martin Hirsch dans son Livre Vert, l'avenir de la jeunesse réside dans le développement de leur autonomie, dans un meilleur effort de solidarité, dans l'accroissement de l'esprit de responsabilité ainsi que dans l'engagement constant vers une cause ou un idéal... Autant de considérations que l'opposition de gauche foule au pied par son comportement dans l'actuel mouvement social.
Les Jeunes centristes dénoncent l'exploitation d'une frange de la jeunesse par l'opposition de gauche selon des considérations purement politiciennes. C'est en attisant les inquiétudes de la jeunesse que les partis politiques de gauche et les syndicats instrumentalisent les collégiens, les lycées et les étudiants.
Un jour, certains responsables socialistes évoquent la mise en place de solutions militaires pour réinsérer les jeunes en situation difficile. Le lendemain, les mêmes suggèrent à la jeunesse de descendre dans la rue et ainsi de délaisser l'enseignement et l'instruction dont a besoin toute jeunesse éclairée et porteuse d'avenir.
L'absence manifeste de volonté de l'opposition d'aboutir à un consensus national autour de la question des retraites et son manque d'esprit de responsabilité trouvent par conséquent un écho tout particulier dans la dérive et les violences qui apparaissent depuis quelques jours en marge des cortèges.
Violences : appel à la plus grande fermeté de l'État
Face aux débordements violents et aux comportements intolérables d'une très faible minorité de la jeunesse, et plus largement face aux blocages que connaît notre pays, les Jeunes centristes demandent la plus grande fermeté des pouvoirs publics : la loi républicaine doit être respectée par tous, droits et devoirs compris.
« Il est anormal que dans plusieurs villes de France, les « casseurs » puissent ainsi perturber un mouvement social pacifique qui révèle quant à lui une crise de confiance entre le politique et la jeunesse. Afin de retrouver un climat plus serein, j’appelle le gouvernement à faire plus de pédagogie sur cette réforme nécessaire et à sanctionner fermement toute une partie de la jeunesse qui ne respecte plus la République.» Jeremy Coste, président des Jeunes centristes
Être citoyen, c'est être instruit et responsable
Contrairement à ce que l'opposition veut leur faire croire, ce n'est pas en étant dans la rue que les jeunes s'assureront un avenir meilleur. Bien entendu, les Jeunes centristes soutiennent les initiatives citoyennes à commencer par celle qui consiste à exprimer librement ses opinions. Mais comme le rappelait Martin Hirsch dans son Livre Vert, l'avenir de la jeunesse réside dans le développement de leur autonomie, dans un meilleur effort de solidarité, dans l'accroissement de l'esprit de responsabilité ainsi que dans l'engagement constant vers une cause ou un idéal... Autant de considérations que l'opposition de gauche foule au pied par son comportement dans l'actuel mouvement social.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire